Bienvenue chez Frédéric Bayle, agriculteur en Charente-Maritime.
Monsieur Bayle exploite sur une surface de 98 ha essentiellement en grande culture : céréales à paille, maïs et tournesol.
L’exploitation fait face à une contrainte majeure, qui est le type séchant de ses sols. De la même façon, elle est pénalisée par un climat sec.
Quelles sont les espèces en génétique RAGT représentées sur votre exploitation ?
Monsieur Bayle explique qu’il cultive des maïs et du tournesol en génétique RAGT mais également des céréales à paille.
En tournesol il produit une variété RAGT qui est le RGT Buffalo, il nous dit d’ailleurs « En fait je me souviens très bien quand j’ai commencé à cultiver le RGT Buffalo, parce que c’était au début et personne n’en faisait et j’ai fait confiance à mon technicien qui m’as dit que c’était une très bonne variété. C’était en 2016, et depuis j’ai continué avec cette variété-là. Elle ne m’a jamais déçu malgré des contextes climatiques différents chaque année. »
Quelles sont les valeurs pour vous qui incarnent le mieux RAGT et/ou ses produits ?
Lorsque nous avons interrogé l’agriculteur à ce sujet, il nous a confié que ce qu’il appréciait le plus chez RAGT, c’était l’expertise technique sur les produits en conditions réelles et surtout dans des contextes en conditions limitantes (dans tout type de sol, en condition sèche). « Travailler la performance rendement pure n’a pas de valeur car en conditions sèches j’ai besoin de juger de la rusticité des variétés ».
Il apprécie également le fait que l’entreprise travaille toujours pour aider l’agriculteur à optimiser ses cultures (essais densité).
Qu’attendez-vous comme solution de la part de RAGT par rapport à vos contraintes agricoles actuelles ou futures ?
En premier lieu, ce qu’attend Monsieur Bayle, ce sont des variétés résistantes aux maladies : « Dans une démarche de réduction des produits phytosanitaires, nous allons devoir faire face à de moins en moins de solutions pour lutter contre les maladies. Avoir des variétés qui présentent génétiquement des solutions de résistances serait un progrès pour nous ».
De la même façon, suite à des étés plutôt secs, Monsieur Bayle attend de la part de RAGT, des variétés qui soient résistantes au sec. Il pense notamment au maïs, qui en fin de cycle peut avoir tendance à manquer d’eau.
Qu’attendez-vous du Club des Semeurs ?
Pour Monsieur Bayle ce qui compte le plus dans le Club des Semeurs RAGT, ce sont les témoignages et les récits d’autres agriculteurs.
En effet il exprime l’envie d’avoir « des informations concrètes, qui viennent des agriculteurs, eux-mêmes ». Il confie, que pour lui, le plus important dans le club des Semeurs, « c’est les échanges entre agriculteurs venant de différentes régions avec différentes contraintes qui m’intéressent. C’est un lieu qui me permettra de m’inspirer de pratiques différentes des nôtres, et qui au quotidien peut nous aider dans la conduite de nos cultures ».